Au départ, je ne savais rien de ce livre. Son titre ne m'aurait pas spécialement donné envie de lire s'il n'avait pas figuré sur la liste des nouveautés à ne rater sous aucun prétexte, dans un magazine (du mac do je crois).

Bref, il est venu s'ajouter à ma PAL et a croisé ma route à la bibliothèque, alors que je ne savais pas quel livre emprunter. Tout un concours de circonstances !

Je ne regrette pas du tout de l'avoir lu. J'ai beaucoup aimé ce livre. Le personnage de Bénédicte Ombredanne est attachant. Il brosse un magnifique portrait de femme. Elle apparaît dans toute sa fragilité malgré sa force de caractère.

Tout est question d'ambivalence dans cet ouvrage. Elle mène et organise sa vie familiale et professionnelle d'une main de maître et, a contrario, est totalement dépendante de son mari, qui l'infantilise et est seul maître de son existence.

Derrière cette histoire, c'est d'un cas social qu'il s'agit.

Chose assez rare, le sujet est traité à travers les yeux d'un homme. Il bouscule à travers ce récit bien des préjugés. La liberté des femmes est relative quels que soient leur statut social et leur niveau d'éducation.

Le roman, malgré cela, n'est pas sombre. Des lueurs d'espoir apparaissent par intermittence, que ce soit à travers l'existence de Christian ou la littérature et le pouvoir de l'écriture, véritable échappatoire pour Bénédicte.

Ce livre, très profond, très vrai, est avant tout une réflexion sur le bonheur. C'est une merveille, que je recommande sans modération.

Résumé:

À l'origine, Bénédicte Ombredanne avait voulu le rencontrer pour lui dire combien son dernier livre avait changé sa vie. Une vie sur laquelle elle fit bientôt des confidences à l'écrivain, l'entraînant dans sa détresse, lui racontant une folle journée de rébellion vécue deux ans plus tôt, en réaction au harcèlement continuel de son mari. La plus belle journée de toute son existence, mais aussi le début de sa perte.
Récit poignant d'une émancipation féminine, L'amour et les forêts est un texte fascinant, où la volonté d'être libre se dresse contre l'avilissement.

Maintenant que les filles sont grandes et que voyager n'est plus synonyme de déménagement, j'ai envie de fuir le quotidien et découvrir d'autres horizons.

Mais je n'ai pas l'esprit d'une aventurière. Tout doit être prévu et planifié dans les moindres détails. Souvenez-vous de mon obsession pour l'organisation  ici .

Cette année, cap sur Lisbonne. D'habitude, je me contente d'un guide touristique pour organiser le séjour et d'un carnet de note en guise de journal de bord.

Pas facile de ne pas passer pour des touristes paumés quand on déplie l'immense plan du guide touristique.

Moleskine, ma marque fétiche, propose des carnets/guide sur plusieurs grandes villes dont Lisbonne et ça, c'est LA révélation. Déjà, quand je pense Moleskine, ça évoque pour moi le légendaire petit carnet élastiqué des artistes tels que Van Gogh, Picasso... J'adore ces petits carnets !!!

Le format est tout petit, bien plus discret qu'un guide touristique. Il tient dans la poche et est surtout très élégant.

Il regorge d'informations utiles (plans de ville, quartier par quartier, plan du métro...)

Des calques sont même prévus pour préparer ses itinéraires sans avoir à gribouiller les cartes.

Une section à onglets (prévus et aussi personnalisables) permet de préparer son voyage et noter les bonnes adresses.

Il sert à la fois à préparer son voyage, et tenir un journal de bord durant le séjour. En fin de guide, il y a un soufflet pour conserver tickets et autres cartes souvenir !

Ce carnet me semble juste parfait. J'ai hâte de m'en servir pour voir ses éventuelles faiblesses.

Aromazone est pour moi le temple de la tentation. Chaque fois que je visite ce site, j'ai envie de tester des tonnes de nouveaux produits. Les derniers en date sont la poudre de shikakai et la poudre de sidr (clic ici).

J'ai offert à ma fille de 8 ans 1/2 le coffret "kit gloss" pour noël.

Elle adore se maquiller et se pomponner mais au moindre ingrédient "sournois" c'est la cata ! Elle fait une méga réaction cutanée; je suis obligée de miser sur des compositions très "clean" avec elle.

Et pour ça, aromazone, c'est top !

Dans ce coffret, rien de potentiellement irritant.

Les ingrédients

Impossible de se rendre en centre ville de Toulouse sans passer par la boutique Yankee Candle.

Trop contente et super excitée à l'idée d'enfin essayer les bougies dont tout le monde parle, j'entre dans la boutique et là, je suis aux anges! Il y a des tonnes de bougies aux senteurs différentes.

J'avais dans l'idée de tester les tartelettes, les plus concentrées en senteur, d'après ce que j'avais crû comprendre. En plus, elles sont peu chères (1€80), ce qui permet d'essayer différents parfums.

Mais, dans mon euphorie passagère, j'ai oublié un détail. Je suis enrhumée et ne sens rien. et les noms marqués sur les tartelettes ne sont pas des plus évocateurs.

Bon, tant pis, j'en prends 5 au pif, avec l'aide de mon marin, tout aussi enrhumé que moi.

Résultat des courses, honey glow que j'ai voulu faire fondre en premier sent très bon, très (trop) fort. Il suffit de la faire brûler peu de temps pour embaumer toute la maison, et pour longtemps.

Mon odorat n'étant pas des plus développés, je ne saurais décrire son odeur. Honey Glow est décrite par la marque américaine comme  « le rayonnement doux et captivant de ce parfum sucré qui crée une atmosphère paisible, chaleureuse et accueillante« .

Après plus d'une semaine d’utilisation, il reste toujours autant de cire. L'odeur est moins entêtante par contre.Je me dis: "c'est fou comme elles durent longtemps ces bougies !"  et finis par trouver ça bizarre... jusqu'à ce que j'apprenne que la cire ne se consume pas !

Ben voilà, je me disais aussi...

Reste à réussir à la démouler pour tester une autre tartelette, et ça je sens que ça ne va pas être de la tarte !

un mois plus tard...

Oui, je sais ce que vous pensez . Aussi incroyable que cela puisse paraître, mes cheveux ne se sont jamais si bien portés que depuis que je n'utilise plus de shampoing. Moi même j'étais sceptique il y a quelques semaines encore.

Souvenez-vous du soin clarifiant que j'avais fait ici. Quelques jours plus tard, j'en ai fait un second, histoire d'avoir les cheveux bien propres, exempts de toute trace de silicone.

Les poudres ayurvédiques lavantes m’intriguaient et j'ai commandé chez aromazone de la poudre de shikakai et de la poudre de sidr.

La poudre de Jujubier ou Sidr est réputée pour laver et embellir les cheveux. Elle permet aussi de fixer les poudres colorantes comme l’indigo sur les cheveux. Elle est également connue pour calmer les démangeaisons cutanées.

Riche en saponines végétales, cette poudre nettoie le cuir chevelu tout en rendant les cheveux doux et soyeux. Le shikakaï est aussi connu pour prévenir les pellicules et favoriser la pousse des cheveux.

Préparation et utilisation:

Très volatile et irritante, la poudre de shikakai fait tousser lorsqu'on prépare le mélange.

Pour avoir une texture  gélifiée plus facile à étaler, je mélange 2 parts de poudre de shikakai pour une de poudre de sidr. J'applique sur cheveux humides et c'est beaucoup plus facile à répartir que le bicarbonate (ou alors j'ai pris le coup de main ?!) Je masse longuement et la magie opère.

Le rinçage est long et un peu fastidieux pour être franche.

Mes impressions:

C'est assez troublant de s'étaler ce mélange sur la tête.

Les cheveux se démêlent incroyablement bien. Après séchage, ils sont doux et très brillants, comme ils ne l'ont jamais été. Et encore, je zappe le rinçage au vinaigre de cidre.

Je me passe bien finalement de l'effet moussant. je vois que mes cheveux sont propres, même sans cette mousse à laquelle je tenais tant.

Je me demande au final pourquoi cette technique de lavage  aux poudres n'est pas plus répandue tant c'est formidable !

Juste après séchage. Le volume ne manque pas chez moi...