• ce n'est pas de tout repos. Bien des personnes pensent que c'est une chance d'avoir des enfants à haut potentiel, autrement dit surdoués, or c'est loin d'être facile à gérer.

    Avoir des petits zèbres à la maison...

    Qui sont les EIP ?

     

     

    Un enfant intellectuellement précoce est avant tout un enfant qui a un fonctionnement intellectuel différent dont les tests de QI mettent en évidence un potentiel hors normes. Cet enfant présente un rythme de développement intellectuel supérieur à la norme définie pour les enfants du même âge.

     

    Mais ses développements affectif, relationnel et psychomoteur sont habituellement plus en rapport avec son âge biologique. Cet écart de rythme de croissance, ou « dyssynchronie », entre les composantes de sa personnalité différencie fortement l’enfant intellectuellement précoce des autres enfants et nécessite des réponses éducatives adaptées.

     

     

     L'enfant intellectuellement précoce identifié et reconnu par tous parce qu'en réussite est apparemment sûr de lui, avec un aplomb déconcertant, une logique implacable. Il dispose de capacités de compréhension et d'apprentissage plus rapides que celle des enfants de son âge et par conséquent peut se retrouver en avance sur le plan scolaire. Curieux insatiable, il peut se réfugier dans les livres et s'éloigner ainsi d'un monde qui ne lui ressemble pas… Même identifié, il peut désirer se fondre dans la masse ; timide, solitaire, incompris, il dissimule sa souffrance intérieure et ses immenses capacités. Tout en restant « très bon élève » pendant un certain temps…

     

     

     L'enfant intellectuellement précoce non identifié peut être en échec scolaire, se montrer provocateur ou perturbateur, distrait, brouillon, ne faisant que ce qui l'intéresse. Néanmoins hypersensible, il est de nature anxieuse et commence à présenter des difficultés de comportement et de scolarité. Il peut être curieux, montrer certaines facilités, ce qui déroute les parents et les enseignants qui ne comprennent pas ces paradoxes.

     

     

    Ma num2 a toujours eu des difficultés d'intégration à l'école. Ses notes étaient excellentes mais son comportement laissait à désirer. Elle était agitée en classe, une fois son travail fini (et elle finissait toujours très vite !) , et dissipait les autres enfants, ce qui lui valait punitions sur punitions de la part du corps enseignant.

    Peu à peu, elle a commencé à avoir peur d'aller à l’école, a voulu changer d'établissement, et par chance, sa nouvelle institutrice a très vite suspecté une précocité. Elle m'a conseillé de lui faire passer un test de QI. Ma fille a été diagnostiquée HP et un saut de classe lui a été proposé.

    L'année scolaire suivant le saut de classe s'est très bien passée car elle apprenait plein de choses nouvelles et se s'ennuyait plus en classe. Mais l'année d'après, le problème s'est reposé et on m'a proposé un second saut de classe, ce à quoi je me suis opposée.

    Bien que d'une grande maturité intellectuelle, elle est d'une extrême sensibilité et même immaturité sur certains points et n'aurait pas trouvé sa place au sein de plus grands. Elle souffrait beaucoup des railleries des autres enfants qui la traitaient d' "intello" et a développé une phobie scolaire.

    J'ai donc pris la décision de la déscolariser au mois de janvier, selon les conseils du psychologue.

    Elle est instruite en famille depuis 2 ans et se prépare à réintégrer le cursus scolaire à la rentrée prochaine.

    Ma num3 a elle aussi été diagnostiquée HP mais elle le vit très bien et est très bien intégrée dans sa classe. Elle n'a pas souhaité sauter de classe et malgré quelques difficultés comportementales inhérentes à sa précocité, sa scolarité se passe très bien.

    Détectée bien plus tôt que sa sœur, nous en avons immédiatement discuté avec les enseignants, qui aménagent ses apprentissages de sorte à répondre  à sa soif d'apprendre.

     

     

     

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  • Noël approchant à grand pas, j'ai envie de vous gâter et vous propose un concours dont le tirage au sort aura lieu le 25 décembre.

     

    Le contenu, dont le thème est le cocooning, reste secret pour l'instant. 

    Les conditions à remplir pour participer :

    - Résider en France 
    - Avoir l'autorisation parentale pour ceux qui sont mineurs
    - Être abonné à mon blog sur Hellocoton : http://www.hellocoton.fr/mapage/auxenceandcie
    - Partager l'info sur votre blog en mettant le lien de mon blog
     - Me laisser un commentaire en dessous de cet article en indiquant : Pseudo HC,  votre adresse email.

     

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  •  Après la naissance de mon fils, j'ai voulu reprendre le sport.

    Mais voilà, comment faire avec un bébé qui refuse toute présence étrangère et ne s'endort qu'au sein ? Impossible dans ces conditions d'aller courir ou de se rendre à la salle de gym.

    La solution s'est imposée à moi comme une évidence. Il fallait que je trouve une activité à faire avec mon fils !

    Faire de la marche en le mettant dans la poussette... ? Autant oublier, il déteste la poussette.

    Et là, je me suis dit : pourquoi pas me mettre au vélo ? Ça me permettrait de pratiquer une activité et de laisser la voiture au garage pour tous les petits déplacements quotidiens (hé oui, je veux bien faire du sport mais faut pas exagérer quand même !!!)

    Mon gazelle cabby, mon biporteur

    Le point le plus difficile a été de trouver LA solution pour promener bébé dans les conditions optimales de confort et de sécurité.

    Un siège à l'arrière du vélo ne me semblait pas adéquat pour aller faire quelques courses ni sécurisant. Je n'avais pas l’œil sur le petit et l’enfant, en hauteur, déstabilise facilement le vélo s'il bouge.

    Une remorque ? Pourquoi pas mais c'est large et on, ne peut pas se faufiler partout.

    Au fil de mes pérégrinations sur le net, je suis tombée sur le site cyclable et j'ai découvert les biporteurs et triporteurs.

    Biporteur ou triporteur ?

    Une nouvelle interrogation, d’interminables recherches sur le net et beaucoup de réponses apportées grâce à un forum : vélotaf.

    Les triporteurs me semblaient plus stables or ils se renversent facilement dans les virages si l'on va trop vite. De plus, leur manœuvre n'est pas si aisée qu'il y parait et ils sont encombrants et lourds pour l'usage que je voulais en faire.

    Un biporteur, ou bakfiet, semble plus approprié mais comment vais-je réussir à manier un vélo de 2.60m de long et pesant pas loin de mon poids !

    Son utilisation est soi-disant intuitive. Quelques minutes d'adaptation, le temps d'appréhender son gabarit, et le tour est joué...

    Après un petit tour sur le boncoin, j'en ai trouvé un près de chez moi, je contacte la personne, le réserve et là, gros doutes après l'avoir essayé...

    Et si je ne réussissais pas à m'en servir ? Et si je tombais avec le petit ? Et si, au final, je l'avais acheté pour rien ???

     

    Les premières minutes n'ont pas été si intuitives que ça. Le vélo, de par son poids, est difficile à lancer quand on en n'a pas l'habitude. Au moindre mouvement de guidon, la roue avant située très loin devant, provoque un changement de direction.

    Plusieurs essais ont été nécessaires. D'abord à vide puis avec les enfants. Et étrangement, le vélo est beaucoup plus facile à manier chargé.

    Maintenant, je m'en sers quasi quotidiennement. Pour une balade, aller faire les courses, aller en ville...

    Pas besoin de chercher une place de stationnement. Doté d'une clé et d'un anti vol intégré à la roue arrière, je peux m'arrêter n'importe où. Pas besoin de mobilier urbain pour l'attacher. Il se faufile partout car sa largeur ne dépasse pas celle du guidon. Le volume de la caisse est très important. Je peux facilement y caser les courses de la semaine pour 6 personnes ou promener 3 jeunes enfants grâce aux 3 harnais. Mes enfants sont toujours à l'abri sous la capote amovible

    Et le gros plus de ce modèle réside dans le fait que le bac puisse être enlevé ou se replier en un instant pour faciliter son rangement.

    Mon fils est fan du vélo lui-aussi. Je peux le voir, discuter avec lui tout en roulant.

    Que du bonheur !

     

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  •  

    J'ai découvert cet été sur Instagram le programme sportif de la célèbre coach australienne Kayla Itsines: le body bikini guide.

    un body bikini, ça vous dit ?

    Après 4 grossesses dont 3 très rapprochées, mon ventre manquait, comment dirais-je ? d'un peu beaucoup de fermeté.

    Mais qu'est ce donc ?

    Chaque séance d'une durée de 28 minutes comprend 2 séries de 4 exercices à répéter 2 fois, et ce, 3 fois par semaine.

    un body bikini, ça vous dit ?

    Un jeu d'enfant me direz-vous?

    Mes impressions ?

    Que nenni ! Ces 28 minutes se sont révélées si intenses qu'elles m'ont laissée carpette la première fois, au bord du malaise !

    Je me doutais bien qu'aux vues de mon niveau sportif, je traînerais quelques courbatures les jours suivants mais ce que j'ai vécu a laraargement dépassé mes attentes. Impossible de faire le moindre mouvement sans ressentir la présence de chacun de mes muscles endoloris.

    J'ai commencé la seconde semaine avec très peu d’enthousiasme et une forte envie de tout abandonner. Les photos très prometteuses présentes sur le blog de Kayla Itsines m'ont encouragée à persévérer.

    Les semaines suivantes se sont avérées bien plus faciles que la première et contre toute attente, ces 3 semaines hebdomadaire sont vite devenues un rituel dont je ne peux me passer.

    J'en suis à la semaine 10 et envisage sérieusement de poursuivre avec le guide 2 qui vient de paraître.

    Les résultats sont très probants et les séances suffisamment courtes pour être facilement intégrées à mon emploi du temps.

    Bref, vous l'aurez compris, je suis conquise.

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  • Envouthée par une box

     

    Vous ne le savez peut-être pas encore mais je vis une grande histoire d'amour avec le thé. J'en bois tout au long de la journée et la dégustation d'une tasse de thé est un vrai moment de bonheur.

    Il y a un peu plus d'un an maintenant, j'ai succombé au concept des boxes. Je trouvais l’idée attrayante de découvrir chaque mois un petit colis surprise dans ma boîte à lettres. J'ai tout naturellement opté pour un abonnement de thé.

    Dans un premier temps, j'ai essayé la thébox, qui contient essentiellement des sachets. Ensuite, j'ai préféré envouthé qui propose davantage de thé en vrac.

    Quel plaisir de découvrir cette petite boîte, au contenant qui plus est très esthétique ! Elle contient plusieurs sachets de thé en  vrac, des goodies et un livret explicatif très bien conçu. La sélection est très variée et permet de déguster de vraies petites perles qui seraient restées inconnues sans cet abonnement.

    Envouthée par une box

    Les soirées cocooning autours d'une tasse de thé rassemblent maintenant toute la famille, sans exception. Même le petit dernier de 2 ans est accro !

     

     

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