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    Avant même de le voir fleurir sur les réseaux sociaux, j'avais flashé sur Flow.

    Comment aurais-je pu ne pas remarquer ce magazine qui se démarque tellement des autres ?

    Flow magazine: le bonheur à chaque page

    Une épaisse couverture aux couleurs chatoyantes, pas moins de 4 papiers  différents, 4 rubriques, 4 styles ! En bonus, des cartes postales, une guirlande en papier, un très joli carnet vintage, des intercalaires...

    Flow magazine: le bonheur à chaque page

    Flow magazine: le bonheur à chaque page

    Là où les magazines féminins nous submergent de publicités, vous découvrez de ma-gni-fi-ques illustrations à la place.

    Flow magazine: le bonheur à chaque page

    Flow magazine: le bonheur à chaque page

    Des sujets aussi variés que la pleine conscience, Nathalie Lété, le crochet...

    N'oubliez pas d'inscrire votre nom sur l'étiquette prévue à cet effet. Il est fort possible que quelqu'un craque sur VOTRE Flow !

    Flow magazine: le bonheur à chaque page

    Chaque moment de lecture est un moment de plaisir et de détente.

    Flow magazine: le bonheur à chaque page

    Vous l'aurez compris, j'ai vraiment accroché à ce magazine, moi qui ne suis pas adepte de la presse féminine en temps normal.

    Si vous ne l'avez pas encore, foncez vite chez votre marchand de journaux !

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    C'est un coup de cœur pour un cadeau de noël fait à Auxence.

    C'est un livre personnalisé magnifique, empreint de poésie et de douceur.

    Oh, j'ai perdu mon nom !

    Le concept:

    C'est l'histoire d'un enfant qui a perdu son nom et qui part courageusement à la recherche des lettres disparues. Page après page, l'enfant rencontre de nombreux personnages fantasques et bienveillants, qui tour à tour, lui offrent la première lettre de leur nom.

    Oh, j'ai perdu mon nom !

    Le livre:

      Ce livre personnalisé est d'une grande qualité. Imprimé sur un papier bien épais, en mode paysage, il est au format A4. Les illustrations sont magnifiques et d'une grande douceur.

    Comment passer commande ?

    Pour cela, rien de plus simple.

    Rendez-vous sur le site oh, j'ai perdu mon nom !

    Il vous suffit alors de renseigner le prénom et le sexe de l'enfant pour qu'un livre unique soit édité.

    Si le prénom est court, des situations imaginaires seront ajoutées pour que le livre fasse un minimum de 24 pages. De même, si le prénom possède des lettres identiques, un personnage différent à chaque fois fera son apparition.

    Vous pouvez même faire une dédicace personnelle en début de livre.

    Oh, j'ai perdu mon nom !

    Oh, j'ai perdu mon nom !

    Quelques jours plus tard, vous recevrez votre livre, en exemplaire unique, par la poste, pour 23,99€ fdpc.

    Je vous laisse  découvrir oh, j'ai perdu mon nom ! en images:

    Si vous souhaitez passer commande, je peux vous faire profiter de 15% de réduction grâce à 3 codes promo qui ont été joints à mon colis.

    N'hésitez pas à me contacter.

    Edit: les 3 codes ont été utilisés.

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    Comme vous l'avez sans doute deviné, j'aime lire.

    Début janvier, j'ai vu un article sur le coup de cœur des lectrices version Femina.  Ma curiosité est piquée au vif et je me suis inscrite, comme ça, juste pour voir, mais sans trop y croire.

    Bref, en quelques clics, me voici postulante. Puis j'ai oublié.

    Je n'y pensais absolument plus quand, il y a quelques jours, j'ai reçu un colis. Bizarre ! Je n'ai rien commandé. Et voilà que je découvre un roman tout juste paru: Comment les grands de ce monde se promènent en bateau [Mélanie Sadler]

     

     

     

    Résumé:

    Javier Léonardo BORGES, est un vieux professeur d'histoire de la faculté de Buenos Aires. Il s'ennuie et s'étiole quand le hasard le place face à une curieuse découverte ou plutôt un anachronisme de l'Histoire : comment Coatlicue, la déesse aztèque de la terre peut-elle se trouver sur le dessin d'un « peri » sorte de manuscrit illustré de 1520 et porter une référence à la conquête des Amériques , alors même que l'empire aztèque n'est pas tombé face aux troupes armées menées par l'espagnol Hernan Cortès ?
    Plus qu'émoustillé par cette découverte Il se lance alors aidé de son homologue Hakan à Istanbul dans une recherche quasi policière …
    Dans un style très enlevé, porté par une écriture vive et malicieuse , nous cheminerons vers une vérité bien imaginative !!
    Ou l'on découvre que Cuauhtémoc le dernier empereur n'est sans doute pas mort en 1524!
    Ou l'on comprend comment la représentation de la déesse de la terre peut se trouver sur ce parchemin !
    un roman extrêmement bien monté,une intrigue quasi policière très dense, au rythme soutenu ! une écriture alerte et sautillante, moderne et érudite à la fois .
    L'auteur parvient à conjuguer imagination, érudition, beauté de la langue et esprit romanesque pour le plus grand plaisir du lecteur
    Un roman qui demande aussi des références et des connaissance historiques .

    (Source Babelio)

     

    Mon avis:

    Ce livre, que de prime abord je n'aurais pas lu (l'histoire précolombienne, très peu pour moi...) m'a littéralement emportée d’enthousiasme. J'ai été subjuguée par le style tonique et moderne de ce roman. Il aborde les références historiques tout en légèreté (et ça ça fait toute la différence, croyez-moi !) Du début à la fin, j'ai été tenue en haleine.

    Au delà de l'intérêt du livre, c'est avant tout le fait de découvrir une nouveauté, vers laquelle je ne me serais pas tournée spontanément, qui me plait.

    Faire partie d'un jury de lecteurs, donner mon avis et l'envie à d'autres personnes de lire cette merveille littéraire, est très plaisant.

    Je suis très heureuse d'avoir participé à cette opération et j'espère que d'autres opportunités se présenteront à moi.

     

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    Au départ, je ne savais rien de ce livre. Son titre ne m'aurait pas spécialement donné envie de lire s'il n'avait pas figuré sur la liste des nouveautés à ne rater sous aucun prétexte, dans un magazine (du mac do je crois).

    Bref, il est venu s'ajouter à ma PAL et a croisé ma route à la bibliothèque, alors que je ne savais pas quel livre emprunter. Tout un concours de circonstances !

    Je ne regrette pas du tout de l'avoir lu. J'ai beaucoup aimé ce livre. Le personnage de Bénédicte Ombredanne est attachant. Il brosse un magnifique portrait de femme. Elle apparaît dans toute sa fragilité malgré sa force de caractère.

    Tout est question d'ambivalence dans cet ouvrage. Elle mène et organise sa vie familiale et professionnelle d'une main de maître et, a contrario, est totalement dépendante de son mari, qui l'infantilise et est seul maître de son existence.

    Derrière cette histoire, c'est d'un cas social qu'il s'agit.

    Chose assez rare, le sujet est traité à travers les yeux d'un homme. Il bouscule à travers ce récit bien des préjugés. La liberté des femmes est relative quels que soient leur statut social et leur niveau d'éducation.

    Le roman, malgré cela, n'est pas sombre. Des lueurs d'espoir apparaissent par intermittence, que ce soit à travers l'existence de Christian ou la littérature et le pouvoir de l'écriture, véritable échappatoire pour Bénédicte.

    Ce livre, très profond, très vrai, est avant tout une réflexion sur le bonheur. C'est une merveille, que je recommande sans modération.

     

    L'amour et les forêts

     

    Résumé:

    À l'origine, Bénédicte Ombredanne avait voulu le rencontrer pour lui dire combien son dernier livre avait changé sa vie. Une vie sur laquelle elle fit bientôt des confidences à l'écrivain, l'entraînant dans sa détresse, lui racontant une folle journée de rébellion vécue deux ans plus tôt, en réaction au harcèlement continuel de son mari. La plus belle journée de toute son existence, mais aussi le début de sa perte.
    Récit poignant d'une émancipation féminine, L'amour et les forêts est un texte fascinant, où la volonté d'être libre se dresse contre l'avilissement.

     

     

     

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    La femme au carnet rouge

     

    Résumé :

    Un soir à Paris, une jeune femme se fait voler son sac à main. Laurent, libraire au carnet rouge, le retrouve le lendemain sur une poubelle.

    Un miroir ancien, un parfum, quelques photos, un moleskine rouge, un ticket de pressing, une barrette, et un cartouche égyptien. c'est tout ce dont dispose Laurent pour retrouver la mystérieuse Laure.

    Aidé de sa fille, Laurent va rapidement se prendre au jeu de piste et développer une fascination pour cette femme qu'il ne connaît qu'à travers les objets contenus dans son sac.

    Laurent, le libraire du carnet rouge, rencontrera-t-il Laure, la femme au carnet rouge ?

    L'auteur :

    Né à Paris au début des années 1970, Antoine Laurain est l'auteur de cinq romans, dont Le Chapeau de Mitterrand(Flammarion, 2012, prix Landerneau et prix Relay des voyageurs), grand succès (25 000 exemplaires en grand format et 17 000 exemplaires en poche), traduit en plusieurs langues.

     

    La femme au carnet rouge

     

    Mon avis :

    Antoine Laurain nous transporte au cœur de l'enquête et nous tient en haleine dès le début du roman.

    L'histoire de ce livre, d'une lecture simple, est formidablement bien ficelée. Le style est fluide et les chapitres courts.

    Tous les éléments sont réunis pour faire de ce livre une lecture très agréable, que j'ai adoré, et dévoré en deux petites soirées.

     

     

     

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